Le rapide Mérenda ignore mon drame avec raison .Il cloute les battements de mon âme pour prévenir mon coeur .Je lui sussure le tragique il me répond : à la vôtre la vie !
comme une bergère de mes maux elle hydrate le velours cru de ma langue et s'associe à la rouge touche florale.Nous voici dans l'ouvert.
mercredi, mars 22, 2006
Une sempiternelle attente vissée à l'oronge maligne.Le fruit du duc moyen.Et l'écorce brune ridée de nerfs morts.Triumvirat de fin d'hivers !
mercredi, février 15, 2006
Je me suis reposé l'esprit à la source de la toge .Festons de sueur sur le grain emperlé.Cliquetis des larmes sur la chaînette des fourreaux .Sans calcul à tes reins prosterné j'engage mon flux et te restaure au bon coin de ton âge.Drakarmine (Stabia 77 ).